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Sva ljudska bića rađaju se slobodna i jednaka u dostojanstvu i pravima. Ona su obdarena razumom i sviješću i treba da jedno prema drugome postupaju u duhu bratstva.
Le bosnien (bosanski jezik), parfois appelé bosniaque (bošnjački jezik), est l’une des variétés standard de la langue appelée « serbo-croate » par certains linguistes, et par d’autres – « diasystème slave du centre-sud », štokavski jezik « langue chtokavienne », standardni novoštokavski « néochtokavien standard » ou BCMS (bosnien-croate-monténégrin-serbe).
La standardisation a commencé dans les années 1990, après le démembrement de la Yougoslavie. Les linguistes qui y travaillent cherchent à différencier son standard des autres surtout en recommandant les synonymes d’origine turque, arabe et persane qui existent dans la langue pour les mots d’origine slave. Comme les autres variétés de la langue commune, le bosnien aussi est langue officielle, avec l’appellation « langue bosnienne ».
Controverses autour de l’existence et de l’appellation de la langue bosnienne
Certains linguistes, surtout serbes mais aussi croates, ne prennent pas en compte une langue qu’on puisse appeler « bosnienne ». Le linguiste serbe Pavle Ivić, par exemple, affirme que « la langue parlée par les Serbes est le plus souvent appelée serbo-croate dans la science. Elle est utilisée, en dehors des Serbes, par les Croates et les Musulmans de Bosnie-Herzégovine. Cette langue est appelée croate par les Croates et serbe par les Serbes. » Selon la linguiste croate Snježana Kordić, on ne peut parler de manière scientifique que d’une langue unitaire serbo-croate (avec cette appellation traditionnellement adoptée par les milieux académiques), indépendamment de la façon dont l’appellent ses locuteurs, ou du fait que, pour des raisons nationalistes, on parle de quatre langues différentes.
La notion de langue bosnienne a été reprise après le démembrement de la Yougoslavie et la formation de l’État indépendant de Bosnie-Herzégovine. L’un des arguments de ceux qui la soutiennent est qu’elle a déjà existé au Moyen Âge. Elle se référait à la langue slave du sud parlée par tous les habitants de la Bosnie et de la Herzégovine et on l’a utilisée avec des interruptions jusqu’à la standardisation du serbo-croate, lorsqu’on a considéré que les Bosniaques musulmans aussi parlaient cette langue. Ils ne nient pas que les Bosniaques, les Serbes et les Croates ont une langue commune, mais les Serbes l’appellent « serbe » et les Croates « croate », des standards à part existant pour ceux-ci. C’est pourquoi un autre argument des Bosniaques est que, n’étant ni Serbes ni Croates, eux aussi ont le droit d’appeler leur langue à leur manière, ce qui donne selon eux « bosnien », et ils entendent par cela « la langue des Bosniaques et de tous ceux qui la ressentent comme leur avec cette appellation ».
L’appellation de la langue met devant un dilemme les autorités de Bosnie-Herzégovine, ce qui se reflète, par exemple, dans les documents du système de l’enseignement public, dans lesquels on utilise en tant que nom de discipline parfois bosanski jezik « langue bosnienne », d’autres fois bosanski, hrvatski, srpski jezik (abrégé BHS jezik ou B/H/S jezik) « langue bosnienne, croate, serbe ».
Parmi les linguistes non bosniaques qui ont désormais accepté l’idée de quatre standards différents, il y en a qui contestent le nom que les linguistes bosniaques (de religion musulmane ou sans religion mais à ascendance musulmane) donnent à leur langue, bosanski jezik « bosnien », terme en relation avec le nomBosanac « Bosnien ». Ce terme est utilisé également par les Serbes de Bosnie-Herzégovine pour s’auto-identifier, à côté du mot Srbin « Serbe », c’est pourquoi, selon eux, on ne peut appeler cette langue que bošnjački, terme dérivé de l’ethnonymeBošnjak « Bosniaque », appliqué seulement aux Musulmans. Les organisations internationales, elles, ont adopté en anglais le terme Bosnian language correspondant à bosanski jezik.
Répartition géographique et statut
Il n’y a pas de données exactes sur le nombre de Bosniaques ni de locuteurs de bosnien. Le nombre de Bosniaques dans le monde est estimé à 1 516 790 par Ethnologue mais, en additionnant les données des recensements, on arrive à 2,2 millions, sans compter la diaspora bosniaque. Même concernant la Bosnie-Herzégovine il n’y a que des estimations. En Serbie, au Monténégro, en Croatie, en Macédoine du Nord et au Kosovo, ils sont présents dans les statistiques des recensements. Parmi ces pays, en Serbie et au Monténégro on indique séparément le nombre de personnes d’ethnie bosniaque et de personnes d’« ethnie musulmane ». Le nombre de locuteurs de bosnien apparaît dans les statistiques de Serbie, du Monténégro et de Croatie, et il y a des différences parfois notables entre ces données et celles concernant l’ethnie, ce qui dénote qu’il y a des Bosniaques qui ont déclaré le serbe ou le croate comme langue maternelle.
En nombre inconnu, il y a aussi des Bosniaques vivant en émigration. La plupart sont partis en Turquie vers la fin du XIXe siècle et surtout vers le milieu du XXe siècle.
Le bosnien a des statuts officiels de différents niveaux dans quelques pays :
En Bosnie-Herzégovine il est langue officielle.
Au Monténégro, le bosnien est appelé « d’usage officiel ».
En Serbie également il est d’usage officiel dans les localités où au moins 15 % de la population est bosniaque. C’est le cas dans le Sandžak.
Au Kosovo, le bosnien est « langue officielle au niveau municipal à tous les niveaux prévus par la loi ».
Les débuts de la langue bosnienne sont liés à l’existence de la Bosnie en tant qu’État pratiquement indépendant, bien que vassal du Royaume de Hongrie, de 1154 à 1463, quand elle a été conquise par les Ottomans et incorporée dans leur empire.
L’un des documents les plus anciens écrits dans la langue des Slaves du Sud est un accord commercial entre la Bosnie et Dubrovnik, datant de 1189, écrit par le prince régnant de Bosnie, le ban Kulin. C’est considéré comme la charte de l’existence étatique de la Bosnie et, en même temps, comme la première attestation documentaire de la langue bosnienne. Ce document, comme de nombreux ultérieurs, était écrit avec un alphabet appelé bosančica, dérivé de l’alphabet cyrillique. On suppose que l’écriture bosančica date du Xe siècle ou du XIe siècle. Elle a été utilisée jusqu’au XVIIe siècle, ayant une variante pour les documents officiels et une autre, cursive, pour l’écriture plus rapide.
Au début de la période ottomane, qui a duré jusqu’en 1878, une grande partie de la population de la Bosnie, patarins, catholiques et orthodoxes, est devenue musulmane, ce qui a fortement influencé la culture de cette population et, dans une certaine mesure, sa langue aussi. L’écriture bosančica cursive a continué dans deux variantes, l’une appelée manastirska « de monastère », utilisée par les moinesfranciscains, et l’autre, nommée begovica « celle des bey, employée par l’élite musulmane. En parallèle, on a aussi utilisé l’alphabet arabe adapté à l’écriture du bosnien.
Les lettrés musulmans écrivaient des ouvrages religieux et scientifiques en arabe, des œuvres littéraires en persan et aussi, dans une moindre mesure, en turc, les documents officiels étant rédigés en turc également. Dans le même temps, pendant trois siècles et demie il a existé une littérature en bosnien écrit avec l’alphabet arabe, consistant surtout en poèmes religieux, mais aussi en œuvres inspirées de la littérature orale du peuple. L’un des représentants importants de cette littérature était Muhamed Hevaji Uskufi, qui est aussi l’auteur du premier travail lexicographique bosnien, un glossaire bosnien-turc rimé, datant de 1631.
1878 est l’année de début de la domination de l’Empire Austro-Hongrois sur la Bosnie-Herzégovine. C’est alors qu’on a entrepris de manière systématique les premières tentatives de créer une nationalité bosniaque et, en parallèle, de standardiser le bosnien. Par exemple, une grammaire du bosnien est paru en 1890. Les écrivains de cette période, groupés sous la dénomination de « Renaissance bosniaque » (les poètes Safvet-beg Bašagić et Musa Ćazim Ćatić, le conteur Edhem Mulabdić, etc.) écrivaient dans une langue plus proche du croate que du serbe. À cette époque, c’est l’alphabet latin employé pour le croate qui s’est généralisé pour le bosnien aussi.
Après la Première Guerre mondiale, à l’époque yougoslave, les Bosniaques n’ont pas été considérés comme une narod « nation » à part, comme l’étaient les Serbes et les Croates, jusqu’en 1971. Alors on leur a attribué ce statut sous le nom de Muslimani, mais officiellement, leur langue aussi était le serbo-croate. À partir des années 1970, dans un contexte où des intellectuels croates commençaient à mettre en question l’idée de langue serbo-croate, chez des intellectuels bosniaques aussi on a vu apparaître la revendication de certaines spécificités liées à la tradition culturelle musulmane.
Après la dissolution de la Yougoslavie et la création de l’État de Bosnie-Herzégovine, le bosnien est devenu langue officielle et on a entrepris des actions pour sa standardisation. L’écriture du bosnien avec l’alphabet latin est même devenue officielle conformément à la constitution de la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine.
La dénomination « langue bosnienne »
L’un des arguments de ceux qui considèrent le bosnien comme une langue à part est l’utilisation de la dénomination bosanski jezik au cours de l’histoire. En effet, elle a longtemps été utilisée pour la langue parlée par la population de l’actuelle Bosnie-Herzégovine, puis abandonnée pendant quelque temps, pour réapparaître, redisparaître et réapparaître de nouveau.
On trouve une attestation de ce terme par exemple dans l’ouvrage Histoire des langues écrites du voyageur byzantin Constantin Philosophe, de 1300. Un autre document, de 1436, mentionne un duc de la région de Kotor qui amena une jeune fille décrite comme « une femme bosniaque, hérétique, appelée en langue bosnienne Djevena ». Les lettrés bosniaques qui écrivaient en d’autres langues affirmaient que leur langue maternelle était le bosnien. Les lettrés catholiques aussi utilisaient cette dénomination. On en voit un exemple sur la page de titre d’un manuel scolaire de calcul de 1827, traduit du latin par un moine franciscain.
Vers le milieu du XIXe siècle, quand l’idée yougoslave est apparue et celle de la standardisation de la langue commune des Bosniaques, des Croates, des Serbes et des Monténégrins, le terme « langue bosnienne » a été abandonné. Il a été repris et utilisé systématiquement dans la période de la domination austro-hongroise, puis réabandonné à l’époque de la première Yougoslavie et de la Yougoslavie communiste, pour être de nouveau employé à partir des années 1990.
Particularités du bosnien par rapport au serbe et au croate
L’idée de langue bosnienne a amené celle de la nécessité de sa standardisation en une forme qui l’individualise autant que possible par rapport au serbe et au croate. La standardisation n’est pas achevée, étant un processus complexe à cause de certaines divergences entre linguistes concernant les particularités du bosnien à introduire dans le standard, ainsi que du manque de coordination dans leur activité. Il y a aussi une opinion selon laquelle la réalité de l’usage de la langue, qui ne tient pas compte des standards, est négligée, et que certains linguistes se rendent coupables d’un purisme injustifié lors de l’élaboration du standard.
Généralement, les traits structurels (phonologiques, morphologiques et syntaxiques) du bosnien sont communs avec le croate, avec le serbe ou avec les deux, tous les trois étant basés sur le dialecte chtokavien du diasystème slave du centre-sud. La standardisation du bosnien se fait à partir de l’usage langagier des Bosniaques. Damir Mustabašić constate que par rapport au serbe et au croate, c’est cet usage qui est le plus proche du serbo-croate.
Selon le linguiste Dževad Jahić, on peut considérer comme des particularités bosniennes:
des traits dialectaux, ceux des parlers chtokaviens de Bosnie-Herzégovine (notés ci-après par P) ;
des traits du registre familier des Bosniaques (F) ;
Seraient typiquement bosniens les traits phonétiques suivants :
(C) La consonne est fréquente, conservée dans les mots d’origine arabe en très grande majorité, perse et turque en moindre mesure, contrairement au serbe et au croate qui l’ont perdue dans les mêmes mots. Les Bosniaques l’introduisent dans des mots slaves aussi. Exemples :
(P) Le groupe št devient šć: kliješća « pince », (sr) klešta, (hr) kliješta.
(P) Il y a des formes non palatalisées par rapport à leurs variantes serbes et croates :
pojti « partir », (sr + hr) poći ;
dojde « (il/elle) vient », (sr + hr) dođe.
En prosodie, on remarque les phénomènes suivants :
(C) Dans les syntagmes à préposition, le passage de l’accent sur la préposition est plus fréquent en bosnien qu’en serbe et en croate : u Bosni « en Bosnie » prononcé au lieu de (sr + hr) .
(C) Les voyelles posttoniques (situées après la syllabe accentuée) longues, prononcées autrefois comme telles dans tout le diasystème slave du centre-sud, se conservent en bosnien, par rapport au serbe et au croate, où elles ont tendance à se raccourcir :
(P, F) la forme brève de l’infinitif utilisée non seulement pour former le futur, mais aussi indépendamment : radit « faire », (sr + hr) raditi ;
(P, L) certaines formes au présent de l’indicatif : znadem « je sais », (sr + hr) znam ;
(P, F) une forme spécifique du conditionnel passé utilisée pour exprimer une action fréquente : ja bih uradi « je faisais », (sr + hr) ja bih uradio ;
l’utilisation du passé simple, nommé aorist dans les grammaires du diasystème, plus fréquente qu’en serbe et en croate : Odoh! « Je m’en vais ! », Rekoh ti ja! « Je te l’avais bien dit ! ».
(P, L) Des adverbes spécifiques :
namah « aussitôt », (sr + hr) odmah ;
vazda « toujours », (sr) uvek (hr) uvjek.
Lexique
Il y a certaines particularités lexicales communes aux Bosniaques. La plus importante est la quantité d’emprunts au turc (certains arabes ou perses à l’origine) plus grande qu’en serbe et surtout qu’en croate. De tels mots sont, par exemple, zar « voile » (porté par les femmes musulmanes), avlija « cour », ćilim « tapis.
Les Bosniaques conservent aussi des mots slaves devenus archaïques en serbe et en croate :
Selon le linguiste Ibrahim Čedić, les Bosniaques utilisent des mots en deux variantes, serbe et croate, et le standard bosnien devrait retenir les deux : (sr) takođe – (hr) također « aussi », (sr) intervenisati – (hr) intervenirati « intervenir », (sr) porodica – (hr) obitelj « famille ».
Notes et références
↑Donnée représentant la somme des données des recensements où on a pris en compte les Bosniaques.
↑Voir au sujet de la discussion autour du statut de ces variétés et de leur dénomination, l’article Serbo-croate.
↑ ab et cLa Constitution de la Fédération de Bosnie-et-Herzégovine, partie du pays qui est majoritairement bosniaque et croate, stipule dans la partie I, à l’article 6 : Službeni jezici Federacije su bosanski jezik i hrvatski jezik. Službeno pismo je latinica. « Les langues officielles de la Fédération sont le bosnien et le croate. L’écriture officielle est en alphabet latin. » (consulté le 6 novembre 2019).
↑(sr) Tri pitanja i tri odgovora , Résolution de la Commission pour la standardisation de la langue serbe n° 1 du 16 février 1998 (consulté le 6 novembre 2019).
↑Pour éviter d’utiliser l’un ou l’autre des termes, la Constitution de la République serbe de Bosnie formule comme ceci: Službeni jezici Republike Srpske su: jezik srpskog naroda, jezik bošnjačkog naroda i jezik hrvatskog naroda « Les langues officielles de la République serbe sont : la langue du peuple serbe, la langue du peuple bosniaque et la langue du peuple croate. » (consulté le 6 novembre 2019).
↑Ethnologue, Bosnian (consulté le 6 novembre 2019).
↑La notion d’« ethnie bosniaque » n’est utilisée que depuis l’indépendance de la Bosnie-Herzégovine. Auparavant, en ex-Yougoslavie, c’est la notion de « nation musulmane » qui était officielle, c’est pourquoi certains Bosniaques se déclarent d’ethnie musulmane.
↑Cf. The World Factbook, CIA, 2016, où la donnée apparaît sous la forme 48,4% de la population totale estimée en 2015 à 3 867 055 d’habitants (consulté le 6 novembre 2019).
↑ a et b(sr) Données du recensement de 2011, p. 21 (consulté le 6 novembre 2019). À noter que le recensement n’a pas été effectué par les autorités serbes au Kosovo aussi. Il y a été fait par les autorités locales.
↑ a et b(cnr) Données du recensement de 2011, auquel on a pu déclarer la langue maternelle par l’une ou l’autre dénomination (p. 10) (consulté le 6 novembre 2019).
↑CIA, The World Factbook, page Kosovo (consulté le 6 novembre 2019). La donnée est présente sous la forme 1,7 % de la population totale de 1 907 592 personnes.
↑Section d’après Jahić 1999, p. 219-220, sauf les informations de sources indiquées à part. Les exemples serbes et croates proviennent de dict.com, Lingea (consulté le 6 novembre 2019), et de Hrvatski jezični portal (Portail linguistique croate) respectivement (consulté le 6 novembre 2019).
↑Mustabašić 2011 (p. 38) remarque que chez les Bosniaques on trouve les deux variantes.
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Sur le bosnien
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