Niobé (fille de Tantale) est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces dernières années. Avec une histoire riche et complexe, Niobé (fille de Tantale) a fait l'objet de débats et d'analyses dans de multiples disciplines et domaines de la société. De son impact sur la culture populaire à son influence sur la politique et l’économie, Niobé (fille de Tantale) s’est avéré être un sujet très pertinent aujourd’hui. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Niobé (fille de Tantale) et examinerons son impact sur la société moderne. Qu'est-ce qui rend Niobé (fille de Tantale) si intrigant et pertinent pour tant de gens ? Continuez à lire pour le découvrir.
Dans la mythologie grecque, Niobé (en grec ancienΝιόβη / Nióbê) est la fille de Tantale et l'épouse d’Amphion. Elle est la mère des « Niobides » à qui elle donne son nom — leur nombre et leur nom varient selon les traditions.
Légendes
Orgueilleuse comme son père Tantale fils de Zeus, Niobé, reine de Thèbes par son époux Amphion, se vanta devant qui voulait l’entendre de sa fécondité et de la beauté de ses 12 enfants. Aveuglée par la fierté, elle se moqua ouvertement de Léto, qui n’avait donné le jour qu’à Artémis et Apollon. C’était là s’attaquer aux dieux, et la malheureuse Niobé l’apprit à ses dépens. Indignés d’une telle présomption, les deux enfants de Léto tuèrent ceux de Niobé à coups de flèches ; seuls une fille et un garçon échappèrent au massacre — Homère ignore cette version de la légende — mais sa frayeur fut telle qu’elle conserva toute sa vie un teint d’une pâleur mortelle. Selon Homère toujours, elle revint dans son pays, où les dieux la métamorphosèrent en pierre.
Entendant les cris de ses enfants agonisants, Niobé sortit de son palais, et à l’horrible spectacle de tous les corps étendus et râlants, elle fut comme pétrifiée. Pris de pitié, Zeus la changea en rocher et la plaça sur le mont Sipyle, d’où coulèrent ses larmes sous la forme d’une source. Pendant neuf jours, les corps restèrent sans sépulture. Au dixième jour selon l’Iliade, les dieux s’apaisèrent et enterrèrent eux-mêmes les enfants de Niobé. Selon d'autres versions, Niobé réussit à protéger la dernière de ses filles, Chloris.
Au mont Sipylos, on peut apercevoir un rocher qui a effectivement la forme d'une femme agenouillée dans la poussière ; de plus, une source coule de ce qui semble être ses yeux[réf. nécessaire].
Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents items. D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.
Un graffiti par l'artiste Banksy a été peint à Gaza à la suite du conflit israélo-palestinien de 2014.
Sculptures
Une statue visible dans les jardins de la villa Médicis à Rome où se trouve le siège de l'Académie de France, évoque l'épisode Niobé qui réussit à protéger la dernière de ses filles.
Une autre statue de Niobé par le sculpteur lillois Hippolyte Lefèbvre (1863-1935) se trouve devant la tour de Roland à Arles (illustration au nom du sculpteur).
Une sculpture monumentale de 1946 et quelques pièces en plâtre par l'artiste Constant Permeke 1886-1952 visibles à Ostende.